Un repas, bien servi !

 (Ce texte est écrit pour repondre à une exercise qui s'agit des initiatives solidaires)

Toutes les initiatives solidaires méritent sa propre reconnaissance dans la société. Mais, on s'entendit parler de très peu de ces comportements humains. En même temps, nous présque oublions ou ne parvenons pas à remarquer des héros méconnus autour de nous. Je voudrais vous raconter d'histoire d'un héros qui s'appelait 'Kettle' Sahib, et le fabuleux geste de cet homme.

Kettle Sahib était le patron d'un petit restaurant qui a été située en Trivandrum (Kerala) au milieu d'un quartier foulé avec plein d'énergie de tous les commerçants, les étudiants et des passants. Il a ouvert sa porte seulement deux fois par jour. La première fois est à midi et le deuxième à le 19h du soir. Pendant ces heures, la rue où le restaurant est situé semblait très foulée qu'avant, parce que-ce qu'un grand nombre des jeunes hommes et des vieux pareils voudraient prendre une place dans son restaurant.

Sur la feuille de bananier, Kettle Sahib servi le riz bouille tout sorti de la cuisine, avec des currys au poulet, des poissons avec des accompagnements varié. Dès qu'il constat une feuille d'une personne avec moins de riz, il se dépêche de lui servir encore un coup de riz. À quoi bon, quelle est la différence : un restaurant ; un patron ; qui servi le repas en grande quantité. Non ! celle-ci la spécialité : dans le restaurant de Kettle Sahib, il n'y a pas de caisse, oui, vous avez bien entendu ! Il n'y a pas de caisse. Personnes vous demanderait l'argent pour ce que vous avez mangé. Mais bien sûr, si vous souhaitez vous pouvoir mettait quelques pièce de monnaies dans une boite placée à la porte de la sortie. Kettle Sahib ne jamais prendre en note qui a payé ou non. Ses mains constamment s'occupaient de servir ses plats délicieux, mais ses yeux sont toujours figés sur les plats de ses invités. Il ne regardait jamais les visages de ces hommes. À la fin de repas, il lui demandait ses employés de récupérer la boite. Il est parfois plein, parfois très peu d'argent. Mais Kettle Sahib s'en fout, il continuait à cuisiner pour le repas suivant.

Dans l'histoire, l'écrivain explique comment un autre personnage (le narrateur) qui est un étudiant profite de ce restaurant pendant son période misère, et de son culpabilité que lui mangeait gratuitement pour longs temps. À la fin d'histoire, lui aboutir à trouver un boulot avec un bon salaire. Avec son premier salaire, l'étudiant venait au restaurant, avait eu son repas, et pour la première fois, il allait vers la boite de monnaies, et commence à mettre dedans les petites monnaies ce qu'il avait emporté sur son sac à dos. Il continue à mettre l'argent jusqu'à la boite est rempli, et il a demandé un autre boite et encore un autre. L'écrivain remarquait, pendant tous ces drames avait eu lieu, Sahib ne s'en souciât même pas à jeter un coup d'œil à lui. Quel gentil homme ! Un adage indienne remarque, 'parmi toutes les autres formes de charité, celui de nourrir quelqu'un est plus noble et généreux'. Kettle Sahib en est la preuve!

Nous apprenons que Sahib dirigeait son restaurant jusqu'au son veille, en suite, il passait le bâton à ses fils. Ce personnage Kettle Sahib est apparu dans une histoire nommée 'Sotrukanakku', qui a été écrit par le célèbre écrivain tamoul Jeyamohan (maintenant disponible en version Anglais au nom "Stories of the True", traduit par Priyamvada).